Partir 1 an à l’étranger pour sa troisième année d’étude en école de commerce, n’est-ce pas un rêve que beaucoup d’étudiants souhaitent voir se réaliser ?
Découvrir une nouvelle culture, de nouvelles personnes, de nouvelles coutumes… changer ses habitudes, en trouver de nouvelles, voyager, partir à l’aventure…
Moi, j’étais toute excitée à l’idée de partir étudier à l’étranger. Mais partir où ? J’avais un choix immense de pays à travers le monde. Le choix de pouvoir vivre au soleil ou à la neige. Le choix de découvrir une toute autre culture dans un continent lointain ou de rester dans un décor urbain avec mes repères de citadine. Le choix d’un pays qui comprend ma langue, d’une population avec laquelle je pourrais communiquer…ou pas.
Le jour J approchait et j’étais de plus en plus impatiente de commencer ma nouvelle vie à l’autre bout du monde.
J’ai choisi de vivre mon expérience dans un pays situé au cœur de l’Asie du Sud-Est : le Vietnam. Sachez que j’ai fait ce choix seulement quelques jours avant que je rende ma décision finale. J’étais un peu perdue au milieu de toutes ces possibilités qui s’offraient à moi. Néanmoins, je savais ce que je voulais : partir loin, voyager, découvrir le continent asiatique qui m’était encore inconnu, et surtout, sortir de mon confort, me confronter à une population totalement différente de la mienne pendant 1 an. Le Vietnam a finalement été le compromis parfait pour satisfaire tous mes critères, auxquels s’ajoutait également un critère financier.
Le Vietnam, c’est lointain. Ce n’est pas vraiment comme chez nous, il y a beaucoup de préparatifs et de recherches à effectuer avant de partir y vivre pendant 1 an.
Il faut d’abord faire une demande de Visa auprès de l’ambassade. Cela prend environ 1 semaine et coûte 120€. Puis, il y a des vaccins. Moi, j’ai choisi de faire tous les vaccins nécessaires car je comptais voyager énormément à travers l’Asie, mais si vous résidez dans une grande ville comme Hô-Chi-Minh et que vous comptez rester au Vietnam, il n’est pas nécessaire d’en faire autant, d’autant plus que ça représente un certain budget. Il y a tout de même certaines zones du Vietnam où la prise du traitement contre le paludisme est nécessaire, vous les trouvez facilement sur internet ou en consultant votre médecin.
Je ne réalisais pas vraiment que je partais vivre au Vietnam avant d’arriver sur place et de vraiment commencer à m’installer. En faisant ma valise, il fallait que je n’oublie rien, surtout pour les médicaments car dans un pays comme celui-ci, on ne trouve pas forcément tout ce dont on a besoin. J’avais hâte de découvrir cette partie du monde où les gens vivent différemment, où tout est peu cher, où le climat est chaud et humide quasiment toute l’année…
Le jour J approchait et j’étais de plus en plus impatiente de commencer ma nouvelle vie à l’autre bout du monde. En arrivant sur place, je me suis vite rendu compte qu’ Hô-Chi-Minh est une ville développée contrairement à ce que je pouvais penser, avec un mélange de buildings, d’infrastructures modernes et de restaurants chics côtoyant des ruelles plus typiques, des marchés, des habitations assez précaires et des cantines donnant sur la rue.
C’est ce qui fait le charme et la diversité de la ville, comme beaucoup d’autres choses dont j’aurais l’occasion de vous parler…
À bientôt !
Noa
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